• Histoires de papangues !

     

    Il y avait une femelle papangue avec son mari qui habitait a coté de la Roche écrite, pas trop loin du campement, à cause des petites poules dans la cour. Pendant une période toutes les poules du campement sont malade. Le vétérinaire est venue et il dit " il vaudras les vacciner". Mais tous sont mort quand meme. Le gésier de madame papangue rétrecie et ses enfants pleure.

    Un jour madame papangue dit a son mari :

    - Je vais aller au Brûlé, ce n'est pas trop loin, je peux trouver de la vollaile.

    Monsieur papangue avait peur mais la faim leur donnaient des crampes à l'estomac, alors il laissa sa madama partir. Il dit simplement:

    - Fais bien attention a toi, un coup de fusil peut te déplumer.

    Madame papangue avait été a l'école et connaissant la loi dit :

    - Nous sommes une espece protégée.

    Monsieur papangue ne discuta pas il préféré fermer son bec.

    Madame papangue a pris son élan et vole en direction de l'école. arrivée au dessus de l'école elle chercha des poules, mais elles ce cache toutes dans des touffes de bambou et d'audepines;

    A coté de la cantine madame papangue trouve un vieux bout de pain rassis, papangue ne mange pas de pain mais simplement elle a faim. Juste quand la papangue attrapa le coco de pain, un gros chien fonce sur elle de toutes dents dehors; heureusement madame papangue réussi a sauter sur un coté, sinon le chien aurait pu la mordre. Madame papangue préfére voler plus loin en tournoyant.

     

    Quand elle arriva au-dessus de la cour du chinois, elle voit une maman poule et ses petits qui était juste a la bonne grosseur, encore tendre, madame papangue avait l'eau a la bouche en voyant les poussins.

    Quand la papangue fonca sur elle, la maman poule courrue en criant, les ailes par terre, les poussins s'épparpille et certains ne bougent plus. La papangue a presque attraper un poussin quand un gros coq sort derriere une vielle caisse d'alcool, le coq, la tete penché, les plume du cou dréssée s'interposa et avant que la papangue ait pu attrapé le poussin, le coq lui donne un grand coup de bec dans le dos. Quelques plumes de la queue du papangue reste par terre. La papangue fait un saut sur le côté, le chinois est sorti de sa boutique un bous de bois fendu à la main qu'il envoie en direction de la papangue; encore un peu elle aurait eu le cou cassé, quelques plumes sont arrachées. Quand madame papangue a vu cela, elle s'est empressée de courrir, simplement elle a failli se mêler la patte dans des vêtements qui était en train de sécher sur la corde tellement elle était préssée. Quand elle arrive a avoir de la hauteur, le sang de madame papangue a failli tourner en vinaigre:

    "Quand je pense qu'ils ont dit que l'espèce est protégé et puis le chinois et son coq se permettent de faire voler mes plumes. J'avais une jolie queue, maintenant elle est toute déplumé. Je vais aller porter plainte."

    Madame papangue vole en direction du poste forestier à l'entrée de la roche écrite. Debout sur un bibassier elle crie en battant des ailes et en faisant du bruit.

    Le chien du garde forestier entendant ce vacarme vient s'assoir sous le bibassier et se met à aboyer. Le garde forestier était en train de signer un laisser-passer pour quelques fangans mal fouttu. Se mattant à sa porte, il regarde ce qui se passe. Quand madame papangue apperçoit le garde forestier elle crie de toute ses forces comme si elle avait bu du rhum:

    _ "Je porte plainte, je porte plainte."

    _ Qu'as-tu? demande le garde forestier

    _ Le coq du chinois m'a becqué, le chinois m'a frappé à coup de batons et ses vêtements ont failli m'étrangler. Je porte plainte pour l'envoyer en prison parce que je suis une espèce protéger. Ce n'est pas toi qui a signé la loi?

    _ On a signé la loi c'est vrai, mais que faisais tu chez ce cinois?

    _ Je voulais juste attraper une ou deux poules parce que nous avons faim.

    Alors le garde dit:

    _ Tu n'as pas le droit de voler les poules des gens. Si tu recommence tes vilaines manières c'est moi le premier pour t fusiller.

    Entendant cela, madame Papangue failli attraper une crise, elle ne pouvait plus parler.

    Dès q'elle pu s'envoler, elle préfère remonter à la roche écrite. Dans les endroits où elle vole, les enfants crient:

    _" Papangue voleuse de poules, papangue voleuse de poules."

    Madame Papangue préfère ne pas entendre, étant sur le point de pleurer, soudain avant d'arriver au campement elle trouve un vieux rat crevé. Attrapant le rat malgrès sa puanteur, l'emporte chez elle et tous en font un festin.

     

    Moral: Sate y rôde voler, y peu guingne in coup d'bois. Na point la loi pou protèze à lu.

     

    Traduction (car c'est du créole): Ceux qui cherche à voler, peuvent recevoir des coups, la loi ne les protègeras pas

     


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